Il l'a dit :
A propos d'Alberto Contador : « Tu devrais dire à Contador d'arrêter de courir comme une gonzesse. » (22/07/2007, Propos rapportés par Levi Leipheimer et cités par Johan Bruyneel dans We might as well win)
Après sa victoire sous les sifflets, lors de la 16ème étape du Tour de France 2007 : "C'est vrai que j'ai été sifflé au départ, et pendant le reste de l'étape aussi. Je pense qu'il y a une grosse frustration de la part du public. Je comprends maintenant ce qu'a vécu Lance Armstrong. Mon respect pour lui grandit de jour en jour." (Le Figaro - 25/07/2007)
A propos de Theo de Rooy, manager de la Rabobank, qui l'a exclu : "Il n'a rien dit à personne (...). C'est l'oeuvre d'un homme désespéré au bord de la crise de nerfs." (nouvelobs.com - 26/07/2007)
Avouant enfin avoir menti sur son programme d'entraînement d'avant Tour de France 2007 : "J'ai donné de mauvaises informations à l'Union cycliste internationale." (radio-canada.ca - 08/11/2007)
A propos du contrôle "anormal" d'Alberto Contador sur le Tour de France 2010 : "Cette histoire de viande contaminée est la seule explication plausible. Contador a été déclaré positif pour quelque chose qui n'a pas pour effet d'améliorer les performances." (Ekstra Bladet.dk , rapporté par cyclismag.com - 08/10/2010)
A propos du Tour de France : "Mon rêve serait d’être le directeur sportif de mon équipe sur le Tour de France. En tant que coureur, c’est impossible, mais je reviendrai !"
Répondant à la question "Quelle est l'épisode de votre carrière dont vous êtes les plus fier ?" :"Le 25 juillet 2007 quand j'ai gagné au Col de l'Aubisque. Quoiqu'il soit arrivé ensuite, j'avais prouvé que j'étais le plus grand grimpeur au monde."
Pour expliquer avoir menti sur sa localisation avant le Tour de France 2007 : « Je voulais que ma femme croie que j'étais à Mexico. Mais j'étais en Italie, mais pas dans ma maison (au bord du lac de Garde). »
Au sujet de la grève des coureurs français au départ de l'étape de l'Aubisque du Tour de France 2007 : « J'allais les écraser. J'aurais voulu mettre 80 coureurs hors-délais pour qu'ils n'arrivent même pas à Paris. »
« En 2010, Vino a essayé de m'embaucher chez Astana. L'UCI a de nouveau appelé. Ils ont dit à Astana qu'ils ne seraient pas autorisés à courir les grandes courses s'ils m'embauchaient. »
« C’est tout simplement stupide de demander à un cycliste professionnel : « Vous dopez-vous ? » Parce qu’il n’y a qu’une seule réponse correcte : non. Posez la question cent fois à un coureur, cent fois il vous mentira. Dès qu’il vous dira la vérité, sa carrière sera finie. Vous ne pouvez pas lui reprocher de se protéger lui-même, de protéger sa famille et ses revenus. Les gens protègent leurs intérêts. C’est ce que j’ai fait. »